jeudi 10 mai 2018

Blog 18: Si j'avais été...

Bien que mon père et mon grand-père soient des policiers pour de bonnes raisons, il faudrait que je sois obligé de faire des choses mauvaises. Si j'avais été un membre de la gendarme, j'aurais été forcé de travailler pour les Nazis. À cause de la présidence de Philippe Pétain, je devrais chercher des Juifs et les capturer. Ils auraient été tués ou envoyés dans des camps de concentration (par exemple, le camp de concentration d'Auschwitz). La même chose aurait été appliquée aux militants politiques ou aux personnes qui ont résisté à la collaboration avec les Allemands. J'aurais aussi besoin de trouver les réfractaires qui ne voulaient pas travailler en Allemagne. J'aurais souvent travaillé avec la Milice pour arrêter les forces. Le marché noir aurait été un problème. Parce qu'il y avait des rations limitées, les gens y vendaient souvent de la nourriture illégalement, comme de la confiture. Pour maintenir les coûts de la guerre, j'aurais veillé à ce que les gens aient des rations et à payer de lourdes taxes. Encore une fois, il aurait été de mon devoir d'interdire cela. La situation m'a rendu très triste parce que je ne voulais pas attraper des gens qui n'avaient rien fait de mal, puisque la guerre était horrible. Si j'avais le choix entre le maréchal Pétain et le général de Gaulle, j'aurais soutenu le général de Gaulle. Dans l'ensemble, j'aurais été très stressé, mais je n'avais pas le choix. La rébellion me tuerait. Même si Pétain a dit qu'il aidait la France, ce n'était pas le cas, car nous avons travaillé en étroite collaboration avec l'Allemagne et la Gestapo.

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